Ethnocentrie, mot galvaudé à la sauce grivoise et aspergé de satin rouge sang. C’est étonnant qu’un tel amalgame puisse traire autant de vaches à la fois sur une supposition si peu conséquente. Mais passons donc. Passons sur ce pont enchanté de la grivoiserie incarnée par l’amalgame ethnocentrique de la conjonction de coordination du support.
Un verre de lait de vache reste un lait de vache, (quoiqu’il puisse être de nature concentrée, entier, ou encore demi-écrémé, voire pas entier du tout, vidé de sa substance grasse que la vache a produite dans un amour maternel subjugué).
Si l’on prend le whisky-lait, tenez. C’est infect non ? C’est normal. L’ajout de matière alcoolique produite par un végétal mélangée au produit d’un organisme vivant ne peut que rassasier incorrectement les quidams qui se leurrent et fuient en avant vert l’impasse du crémier alcoolique. Encore qu’un whisky laid, c'est-à-dire de mauvaise qualité, peut à la rigueur convenir dans certaines circonstances ethnocentriques de la conjonction de coordination de l’équipe du matin. Pas celle du soir. Surtout pas !
En fait, il faut retenir deux choses de cette réflexion. L’ethnocentrie conjuguée au whisky lait (ou laid c’est selon) ne permet pas de subjuguer le sujet.