J'ai rien à écrire mais putain, rien de rien. M'en fout j'suis sur moncul et moncul est libre et international comme dirait Arletty.
Alors écrivons. (et vive les fautes d'ortogtraf)
Il était une fois le petit chaperon rouge.
Il (car entre temps il avait changé de sexe) avait semé des camemberts tout le long du sentier pour ne pas se perdre. PAS pour aller chez mère-grand, non, mais pour acheter du lait chez Pérette et son fameux pot-au-feu. Mais malheur, Ô grand malheur, un corbeau et son pote renard avaient flairé la bonne odeur du camembos qui embaumait la campagne. Le petit chaperon rouge (nous l'appellerons Kevin) sentait également le camembert. Oui. Des pieds, oui. Car ses bottes de sept lieux n'étaient pas de toute première fraicheur. Et maitre renard et son corbeau de compagnie, aux sens pas si affutés que ça, furent immédiatement envoutés par l'odeur des pieds de Kevin.
Je ne vous conterai pas la suite, elle serait délectable pour sûr... mais pas pour le pauvre petit Kevin rouge.
Il fini cuculdejatte au pays des marcheurs, à la cotorep avec six cent dix euros par mois comme tous les culdejattede france et de navarre.
Putain encore un texte avec un mec qui se fait bouffer par les zautres, pauvre de lui, victime du système et de la méchanceté. Ca mériterait un bon coup de divan ça. ..... C'est glauque.